Ibrahim Histoire
Saturday, April 28, 2018
Saturday, March 25, 2017
Une Brève histoire de Dieu
Cet ouvrage a pour thème l’invention et l’évolution de
l’idée de Dieu. Une brève histoire qui n’a commencé à s’écrire qu’au
néolithique. Il décrit le passage de l’humanité de l’animisme au polythéisme
puis, pour les « religions du Livre », au monothéisme et la différence entre
leur Dieu personnel et le concept d’Absolu impersonnel élaboré par
l’hindouisme.
Après avoir montré les parentés entre les mythes et les
cosmogonies de l’Antiquité, il aborde ce que les historiens des religions ont
appelé un « tournant axial » dans l’histoire de l’humanité, avec l’apparition
concomitante, entre le VIIe et
le VIe siècle
avant notre ère, en Grèce, au Proche-Orient et en Asie, de philosophies et de
religions intégrant la notion de salut individuel : la philosophie grecque, le
zoroastrisme, le bouddhisme et les sagesses chinoises, tandis que le
Judaïsme amorce à cette époque une mutation transformant
le Dieu jaloux et tribal du Pentateuque en un Dieu aimant proche du cœur des
fidèles.
La partie sur le christianisme expose les controverses
christologiques et trinitaires ayant débouché sur l’élaboration du dogme
chrétien. Puis son évolution de la chrétienté
médiévale à nos jours en passant par les
critiques de la religion qui s’expriment à
partir du siècle des Lumières. Dernière
des religions monothéistes, l’islam est revenu à l’unicité de Dieu proclamée
par le judaïsme. D’où le rejet par le Coran de la Trinité chrétienne assimilée
à un polythéisme. Alors qu’à La Mecque la prédication du Prophète donnait en
exemple aux croyants la miséricorde divine, elle prit à Médine une orientation
politique, sociétale, législative et guerrière. Et un même contraste existe
entre l’existence d’une mystique musulmane et la montée de l’islamisme radical
et violent. La conclusion intitulée questions sans réponses aborde la question de
l’avenir de Dieu et des rapports entre la religion, la philosophie et la
science.
Wednesday, August 19, 2015
LE MONOTHÉISME, LE POUVOIR ET LA GUERRE De la conversion de Constantin au jihad islamiste
Au-delà
d’une histoire événementielle, l’ouvrage se propose d'analyser les
articulations et les enjeux des rapports entre le pouvoir spirituel et le
pouvoir temporel au sein de la chrétienté et de l'islam, ainsi
que d’exposer l’évolution de la pensée politique autour de ce sujet d’une
actualité brûlante. Il couvre une période allant du IVe siècle à
nos jours et son champ d’étude se limite à l’Europe et au
Proche-Orient. Il s’intéresse entre-autres à la dimension
religieuse de leurs relations, le plus souvent conflictuelles, et aux guerres
de religion au sein de la chrétienté et de l’islam.
Sa
rédaction a été inspirée par la montée de l’intégrisme, du terrorisme islamiste
et de l’islamophobie, la résurgence de la fracture entre chiites et sunnites, les
guerres civiles sectaires qui déchirent la Syrie et l’Irak et l’instauration
d’un prétendu califat à cheval
sur ces deux pays. Plus que dans n’importe quelle autre région du globe, ces
événements montrent les effets pervers du « retour du religieux »
dans la sphère politique depuis le denier quart du siècle dernier.
Le
livre comporte quatre parties traitant successivement : de instrumentalisation
politique du religieux ; de l’Europe chrétienne et postchrétienne ; des
rapports entre l’Occident chrétien et le monde arabo-musulman ; enfin de
l’histoire du Proche-Orient et de l’islamisme politique. Il aborde la problématique
de l’intégration des minorités ethnico-religieuses qui se fait de plus en plus
pressante à l’heure de la montée du communautarisme et des crispations identitaire
face à la mondialisation.
Tuesday, February 3, 2015
Wednesday, April 9, 2014
Les Grands empereurs Européens
L’ouvrage se situe au
cœur du débat sur l’appartenance et la
fragilité des grandes constructions pluri territoriales. Car si bien des
aventures impériales, telles celles de Charlemagne, du Saint Empire romain
germanique, de Napoléon, des Habsbourg, des Hohenzollern, des Romanov sont
biens européens, il en est d’autres qui
refusent les enserrements géographiques. Et d’abord Rome qui domina l’ensemble
du bassin méditerranéen, Asie mineure comprise, mais également l’Empire byzantin,
la seconde Rome. Comment alors refuser de e considérer l’Empire ottoman comme un empire européen, lui qui
assiégea Vienne à deux reprises ? Et devrait-on exclure
d’Europe les peuples des Balkans ? C’est tout le contraire qui s’édifie
sous nos yeux.
Au delà de
l’appartenance se pose, bien naturellement, la question de la solidité et de la
longévité des empires. La réponse de l’ouvrage
tient dans son contenu même. Tous ont disparu, le dernier en date étant
l’empire soviétique. Mais voici qu’est née une forme nouvelle de domination, toujours
reposant sur la force guerrière et le poids économique, mais ne reposant pas sur l’emprise
territoriale : l’empire américain.
Un ouvrage très
documente dans sa partie historique, mais qui n’oublie jamais de tenter de
tirer des philosophies de l’histoire du passe pour essayer de comprendre le
futur.
Histoire de la Turquie de l’Altaï à l’Europe
Homme malade de l'Europe » au XIXe siècle, la Turquie sera-t-elle sa
providence au XXIe siècle ? Alliée des États-Unis, candidate à l'Union
européenne, pivot stratégique entre l'Occident, l'Asie et le Moyen-Orient,
l'ex-Empire ottoman (1299-1922) est aujourd'hui un pays clé sur la scène
internationale. Sa population de 72 millions d'habitants, son poids économique
et son islam modéré en font l'une des seules puissances capables de jouer le
rôle d État phare du monde musulman. Quant à son entrée dans l'Europe, objet
d'un incessant yoyo diplomatique, elle apporterait à l'UE une pièce maîtresse
sur le plan stratégique, comme l'a déjà montré sa participation à la Force
d'interposition de l'ONU au Sud-Liban, facteur de stabilité au Proche-Orient.
Des origines mongoles du peuple turc jusqu'à
l'avènement du Parti de la justice et du progrès (AKP) de l'actuel Premier
ministre Recep Erdogan en 2002, en passant par la colonisation grecque et la
révolution kémalienne, Ibrahim Tabet retrace 3000 ans d'Histoire politique,
économique et sociale de la Turquie, dont plus de six siècles de règne ottoman.
Il n'élude aucun des grands défis que la République fondée par Atatürk se doit
aujourd'hui de relever : terrorisme islamiste, droit des femmes, place des
minorités religieuses, question kurde et question chypriote, reconnaissance du
génocide arménien, relations avec les partenaires ou les adversaires arabes.
Monday, April 7, 2014
La vie a plein temps

La vie a plein temps
Une biographie de Bernard
Fattal
Leader charismatique,
entrepreneur visionnaire animé d’une quête inlassable de nouveaux savoirs, passionné de chasse, de nature et d’aventures, humaniste
engagé au service des plus démunis,
et sur la fin psychothérapeute :
Bernard Fattal était tout cela à la
fois. Il a quitté la vie en pleine force
de l’âge : comme il a vécu, à cent
à l’heure, dans un accident d’auto lors
d’une ultime partie de chasse où l’un de
ses amis l’a accompagné dans la mort.
Mais une année de sa vie était aussi remplie que dix années de celle d’une personne ordinaire.
Basée sur de nombreux
témoignages et sur ses propres écrits, dont son site « Voir la
vie autrement » cette biographie suit son
parcours exceptionnel qui l’a
conduit à se consacrer à la « thérapie brève » après
avoir joué un rôle moteur dans la transformation d’une entreprise
libanaise en un groupe régional. Va à
la découverte des
théâtres de ses exploits cynégétiques,
allant du désert syrien aux « Monts célestes » aux confins du Kazakhstan et de la Chine en
passant par le grand-nord canadien. Parle de son action caritative au sein de l’Ordre de Malte, notamment en faveur des
chrétiens d’Irak. Et raconte enfin
l’histoire du petit cercle d’amis dont il était l’âme.
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